André Boudou, père de Laëticia : « Ma relation avec Johnny ne m’a apporté que des emmerdes ».
Dans l’affaire d’héritage qui déchire la famille Hallyday, le père de Laëticia avait pour l’instant gardé le silence. Dans L’Express, il se confie sur le rôle joué par son « clan » dans la vie du chanteur.
André Boudou, le père de Laëticia était jusqu’à aujourd’hui resté très discret. Il ne s’était pas encore exprimé sur le feuilleton judiciaire qui oppose sa fille à David et Laura, les enfants du rockeur.
Après Sylvie Vartan, Nathalie Baye ou encore « Mamie Rock », André Boudou a décidé de défendre son « clan » dans un entretien accordé à L’Express.
« Vous voulez savoir quel rôle a joué le "clan Boudou", comme on nous appelle ? Nous avons fait du bien à Johnny. Quand Laëticia l’a rencontré, il n’était vraiment pas au mieux de sa forme », déclare-t-il.
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Dans l’affaire d’héritage qui déchire la famille Hallyday, le père de Laëticia avait pour l’instant gardé le silence. Dans L’Express, il se confie sur le rôle joué par son « clan » dans la vie du chanteur.
André Boudou, le père de Laëticia était jusqu’à aujourd’hui resté très discret. Il ne s’était pas encore exprimé sur le feuilleton judiciaire qui oppose sa fille à David et Laura, les enfants du rockeur.
Après Sylvie Vartan, Nathalie Baye ou encore « Mamie Rock », André Boudou a décidé de défendre son « clan » dans un entretien accordé à L’Express.
« Vous voulez savoir quel rôle a joué le "clan Boudou", comme on nous appelle ? Nous avons fait du bien à Johnny. Quand Laëticia l’a rencontré, il n’était vraiment pas au mieux de sa forme », déclare-t-il.
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Le flop de l’Amnesia
Ami de Johnny Hallyday, c’est lui qui avait présenté sa fille Laëticia, alors âgée de 19 ans, au rockeur en mars 1995. À cette époque, dit-il, Johnny Hallyday était « un artiste dépressif, bourré de drogue, qui traînait 23 millions d’euros de dettes ». Selon lui sa fille Laëticia « lui a fait du bien en lui donnant son amour ».
Très vite après le mariage, André Boudou s’était mêlé des affaires de son beau-fils. En 2003, celui qui gère les discothèques l’Amnesia au cap d’Agde et à Miami propose à Johnny de s’associer pour en lancer une troisième à Paris. L’établissement connaît un véritable flop commercial.
Dans L’Express, l’homme d’affaires de 66 ans se défend d’être à l’origine d’un mauvais placement. « Avec l’Amnésia Paris, il a multiplié son investissement par deux. En revanche, moi, le chef d’entreprise qui travaille depuis quarante-huit ans, j’ai eu des ennuis avec le fisc, uniquement parce que j’étais le beau-père de Johnny Hallyday. On s’est payé le beau-père de la star ! Ma relation avec lui ne m’a apporté que des emmerdes ». En 2007, il est en effet condamné en 2007 à deux ans de prison, dont six mois ferme, pour fraude fiscale et abus de biens sociaux dans la gestion de l’une de ses discothèques, au cap d’Agde.
